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Plus de la moitié du parc résidentiel actuel français a été construit avant 1974 (Insee). C’est-à-dire avant l’apparition des premières réglementations thermiques. Du coup, de nombreuses copropriétés sont des passoires thermiques, énergivores et peu confortables. Dans ce contexte, la première étape avant de se lancer dans une rénovation, c’est l’audit énergétique de copropriété. Le principe est de faire appel à un bureau d’études qui va lister les priorités, puis définir différents scénarios de rénovation énergétique, avec un budget estimatif. C’est donc un excellent outil d’aide à la décision pour les copropriétaires. Alors vers qui se tourner et quel est le prix moyen d’un audit ? Quelles sont les obligations en 2024 ? Découvrez toutes les réponses dans cet article.
Différence entre un audit énergétique et un DPE
Quelle est la différence entre un audit énergétique et un DPE ? Tout d’abord, le DPE et l’audit énergétique d’une copropriété ont tous deux un objectif similaire. Ils mesurent et détaillent le niveau de performance énergétique d’un bâtiment de logements. Le diagnostic de performance énergétique (DPE) est une évaluation obligatoire lors de la vente ou de la location d’un bien immobilier. Il fournit une estimation de la consommation énergétique du bâtiment et de son impact sur l’environnement. À savoir, le processus d’audit énergétique implique une étude approfondie des consommations énergétiques d’un immeuble. De plus, il analyse spécifiquement le chauffage, la ventilation, l’éclairage, et s’intéresse également au confort thermique des occupants. Par ailleurs, contrairement au DPE, l’audit propose des préconisations d’amélioration. Ainsi, les actions seront hiérarchisées par ordre de priorité et accompagnées d’une estimation budgétaire. Pour résumer, le DPE est un document informatif, tandis que l’audit énergétique s’apparente à un outil d’aide à la décision.