Montre Alpina Avis
La poésie est l’une des formes d’expression linguistique les plus précieuses au monde. Pratiquée à travers l’histoire, dans toutes les cultures et sur tous les continents, elle parle à tous et a ce merveilleux pouvoir de nous faire rêver et de nous plonger dans un monde à part. Transformer le temps en un poème, c’est la voie empruntée par la marque horlogère Buci. Celle-ci a choisi le 21 mars dernier, la journée mondiale de la poésie, pour nous dévoiler sa toute dernière création : une édition limitée de 40 pièces réalisées en collaboration avec l’artiste Romaric André, plus connu sous le pseudonyme de seconde/seconde/.
Dans un univers décalé et humoristique, seconde/seconde/ personnalise des montres en jouant le plus souvent sur l’un de leurs composants, l’aiguille. L’artiste qui a collaboré avec les marques les plus prestigieuses aime à dire qu’il apporte une provocation instinctive à n’importe quel design sans rien détruire, « en vandalisant l’existant » pour reprendre ses propres mots.
Il s’amuse avec un détail, les index par exemple ou encore l’aiguille des secondes – d’où son nom – et réussit à provoquer un remarquable contraste au sein de montres dont l’esthétique peut initialement paraître à des années lumières de son univers. seconde/seconde/ s’illustre aujourd’hui aux côtés de Buci et nous fait découvrir sa vision de la poésie.
La marque horlogère parisienne poursuit ainsi la production de son premier modèle limité à 300 exemplaires en dédiant les quarante dernières pièces à cette collaboration. Cette montre nous invite à explorer les facettes sombres et impitoyables de la poésie. Comme n’importe quel artiste, le poète s’interroge avant de coucher ses vers sur papier et d’arriver à l’ultime version de son poème.
Il écrit, raye, rature, déchire sans doute de nombreuses feuilles avant que les mots fusent. C’est ce qu’a voulu nous montrer seconde/seconde/ dans cette collaboration horlogère avec Buci. Au sein d’un cadran beige dont la texture évoque le papier, l’encre coule comme des gouttes de sang : un sang d’encre. Sur le fond saphir de la boîte, la définition de la poésie selon l’artiste : « poetry : bloodsport where a daring soul fiercely fights a blank paper ».
La poésie serait donc un sport de combat où une âme audacieuse lutte farouchement contre une page blanche… L’essence même de la poésie : une forme d’art suprême dans lequel le papier et le poète saignent ensemble.
Montre Buci x seconde/seconde/
Tout un poétique programme qui est présent au sein d’un modèle de 38 mm de diamètre doté d’un cadran beige à la texture de papier au sein duquel on remarque quatre index en forme de plume de stylo stylisée. Cette montre embarque un mouvement Soprod, calibre mécanique à remontage automatique, trois aiguilles, offrant une réserve de marche de 44 heures.
Comme sur tous les modèles Buci, la poésie s’invite également sur le bracelet. Trois couleurs de cuir sont proposées, marron, camel ou noir, avec une gravure sur le côté intérieur ou extérieur, au choix. « Quand on a le temps, on a la liberté » sera inscrit sur le cuir marron ; « Vivre en secondes, penser en éternité » sur le cuir camel ; « Aimer, c’est ne plus savoir compter le temps à tes côtés » ou encore « This moment is all there is » sur le cuir noir.
La collaboration Buci x seconde/seconde/ est une édition limitée à 40 pièces disponibles en précommande sur le site de Buci au prix de 1 495 € (livraison prévue en mai). Plus d’infos sur https://www.buci-paris.com.